Arrivé en France au début des années 2010, le poste de chief happiness officer est décrié. Certains taxent les sociétés qui s’en sont dotées de vouloir occuper la scène médiatique à coups d’actions futiles, tandis que d’autres défendent une réelle amélioration du bien-être au travail. Ce métier récent, mis à rude épreuve par le Covid-19, continue de se chercher.